Au cours de sa carrière, Marc Andréini a interprété certains de ses spectacles parfois plusieurs centaines de fois notamment dans le cadre du duo qu’il forme avec Jean-Yves Girin, Les Zindésirables. 15 ans après sa création, il avait envie de reprendre « La tomate fatale ou le retour douloureux de Maxime Libert » un spectacle qu’il a très peu joué. On y découvre un humoriste aigri, qui n’a pas réussi, à l’humour méchant, et qui a l’opportunité de remonter sur scène. Mais son spectacle a mal vieilli et il va sans cesse se faire interpeller par différents interlocuteurs. Ces autres personnages sont interprétés par Julien Bissot et Pierre-Bernard Henry avec qui il avait créé ce spectacle.La thématique posée est simple et bien actuelle : peut-on rire de tout, avec n’importe qui et dire n’importe quoi ? Une question qui prend tout son sens aujourd’hui alors que de nombreux sujets sont bien plus complexes à aborder qu’auparavant. Au sommaire également : - « Aipotu, un portrait à rebours » l’exposition consacrée à l’urbaniste et plasticienne Françoise Schein, à voir au Grand Curtius- « L’aube du bois », l’exposition de Nadine Fabry, proposée par la galerie de Wégimont à la galerie du cinéma Churchill.